Alimentation
en partenariat avec

![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
![]() |
Alimentation sur P.B.P. : 3 cas de figure
Globalement, les possibilités offertes pour s’alimenter lors d’un brevet de très longue distance peuvent
se résumer à 3 situations principales :
1) Les concurrents ne disposant pas d’assistance sont souvent contraints de privilégier l’alimentation
ordinaire en se limitant aux repas proposés aux contrôles, ces repas étant rarement adaptés aux
efforts malgré l’évidente bonne volonté des responsables : pâtes trop cuites, viandes grasses... Situation
par ailleurs aggravée par une absorption de grands verres de liquide destinés à compenser l’insuffisance
hydrique accumulée durant le parcours.
De tels repas nécessitant 7 à 8 heures de digestion vont entraîner un effort digestif quasi continu et
mobiliser en permanence la masse sanguine pour permettre à la digestion de s’effectuer.
2) La formule « sportive » privilégie la diététique d’effort telle que définie dans le programme longues distances mais intercale néanmoins des micro-repas
(un petit bol de pâtes et de jambon, de poisson au riz ou... ce qui fait plaisir à ce moment à condition de ne pas se surcharger et d’éviter les aliments à digestibilité médiocre (riz au lait...). Un peu de café ou de thé en faible quantité sont aussi appréciés. Un court repos peut ensuite faciliter la récupération.3) Les « furieux » se tourneront d’emblée vers le programme énergie intensive du cyclisme de compétition « élite » conçu pour les efforts à très haute intensité et dont le rendement est le mieux adapté au « tout à droite ». Il conviendra de prendre particulièrement garde à la déshydratation des 3 premières heures responsable de nombreux déboires ultérieurs. Prévoir une large variété de références car la fatigue ou les conditions météo peuvent modifier profondément les possibilités d’assimilation et les besoins énergétiques en cours d’épreuve. Ce serait trop bête de tomber en panne sèche à quelques kilomètres du but en ayant les poches pleines d’aliments impossibles à avaler à ce moment.
ATTENTION : assistés ou non, un problème mécanique ou une erreur de parcours sont toujours possibles. Pour ne pas rester en panne sèche dans la nature, gardez toujours dans la poche de quoi préparer au moins un bidon de 640, d’HYDRIXIR ou MALTO.
Plus de renseignements sur les produits OVERSTIM.s sur www.overstims.com